« Mon manager a su déceler mon potentiel et a tout fait pour l’encourager »

En 2008, Emma, fraîchement diplômée de l’Université de York, rêve de travailler chez Elior. « Je passais devant leur bâtiment tous les jours, ça avait l’air d’un super endroit où travailler ! ». Entrée à 21 ans au département des ressources humaines, la jeune Anglaise gravit rapidement les échelons. « J’ai toujours eu le sentiment qu’Elior privilégiait le talent. Mon manager a su déceler mon potentiel et a tout fait pour l’encourager. »
Je n’ai pas eu l’impression que mon congé maternité était une barrière à ma candidature et visiblement, ce n’était un problème pour personne puisque j’ai eu ce poste.
En 2018, alors qu’Emma est en congé maternité, le poste de son supérieur se libère. Elle postule sans hésiter. « Je n’ai pas eu l’impression que mon congé maternité était une barrière à ma candidature et visiblement, ce n’était un problème pour personne puisque j’ai eu ce poste. » Puis la pandémie a frappé. « Le département a été restructuré et on m’a demandé d’étendre le champ de mes responsabilités. Nous étions en août 2020 et j’étais alors en congé maternité pour mon deuxième enfant ! Donc quand j’ai repris le travail, pour la seconde fois, congé maternité a rimé avec promotion professionnelle. »
Autre élément important pour le bien-être de cette cadre, la possibilité de prendre un vendredi sur deux pour pouvoir passer du temps avec ses enfants. « Si je n’avais pas eu ces opportunités professionnelles et ce soutien pour concilier vie privée et carrière, je ne serais peut-être pas restée. Ça en dit long sur la bienveillance avec laquelle j’ai été traitée. »
Commentaires(0)